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Services – Préparer votre levée de fonds

Renforcer son business plan et préparer votre levée de fonds

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Avant de devenir votre partenaire financier, un fonds d’investissement évalue la qualité de votre projet grâce aux documents de communication. Business Plan, prévisionnel financier, slide set : nous sommes là pour mettre en valeur votre projet en retravaillant ses points faibles et en capitalisant sur ses points forts.

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01. Renforcer votre Business Plan

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Nous connaissons la formule : « nous n’avons qu’une seule chance de faire une bonne première impression ». Ça ne signifie pas que les investisseurs publics ou privés ne vous écouteront pas une seconde fois ; sauf si vos hypothèses sont légères ou votre stratégie incohérente avec vos ambitions. Nous vous accompagnons à renforcer les briques élémentaires de votre business plan : justification de l’opportunité de marché, proposition de valeur, environnement concurrentiel, stratégie d’accès au marché, prévisionnel financier, etc.

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02. Préparer vos documents investisseurs

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Vos investisseurs auront un niveau d’exigence élevé et chaque document poursuit un objectif différent. Le teaser vous permettra d’obtenir un premier rendez-vous, votre slide set de soutenir votre présentation orale, votre business plan de présenter votre projet dans le détail. Chaque étape et chaque interlocuteur exige des informations plus ou moins détaillées. Nous vous assistons dans la rédaction de ces documents, sur le fond et sur la forme.

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03. Pitcher votre projet d'innovation

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Au-delà de la dimension personnelle apportée par le porteur de projet, un pitch se doit de suivre plusieurs règles : une bonne structuration des idées, l’utilisation de mots-clés pertinents et de cas d’usage, l’identification des risques et des actions de remédiation… Tout ceci en ayant la tête dans les étoiles et les pieds sur terre !

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Les startups "Tech" françaises
lèvent 5.4 Milliards d'euros en 2020

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* Baromètre EY du capital-risque en France
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opérations en 2020
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d'investissements supplémentaires /2019

Découvrez des membres de l'équipe
préparation à la levée de fonds

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Remy Barbeault

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Philippe Calvet

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Frédéric Grévaud

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La littérature sur le sujet est abondante. La durée moyenne d’une opération de levée de fonds est de 9 mois environ, en considérant que l’entreprise part de la feuille blanche. Les principaux facteurs pouvant réduire (ou allonger) ces délais sont : (1) le niveau de préparation des documents investisseurs, (2) l’existence d’un réseau personnel connecté aux fonds d’investissement, (3) l’expérience personnelle des dirigeants, (4) l’accompagnement des dirigeants par des spécialistes (avocats, conseils, leveurs, etc.). En effet, l’écart type de la durée d’une levée de fonds à une autre est très important, une levée de 200 k€ auprès d’une équipe de Business Angels ne doit pas prendre plus 2 à 3 mois, une levée dépassant 2 M€ auprès d’un grand VC peut facilement dépasser 6 mois. Au-delà des phases de rencontres et de pitch, la complexité du montage, la phase de valorisation/négociation, les enjeux du pacte d’associés nécessitent des délais incompressibles de travail. En bref, vous envisager de recourir à une augmentation de capital auprès d’investisseurs privés, anticipez la phase de préparation, la seule sur laquelle vous avez vraiment une emprise !

Une question récurrente à laquelle nous pouvons lire tout et son contraire… tout simplement parce que chaque projet est singulier. Pour faire simple, il faut en effet garder en tête qu’une levée coûte très cher si nous la comparons à un emprunt bancaire par exemple. Vous empruntez 500 k€ sur 5 ans à 3%, l’emprunt coûtera près de 40 k€. Vous réalisez une augmentation de capital de 500 k€ pour 20% de votre capital. 5 ans plus tard, votre entreprise est valorisée 15M€… la part de votre VC vaut 3M€. Bref, une augmentation de capital coûte cher en cas de succès 🙂 ! Seulement, c’est souvent la condition de l’accélération. Il est donc nécessaire d’ouvrir son capital pour une ambition de croissance forte (critère de sélection du VC par ailleurs) qui n’est pas auto-finançable et qui présente un risque fort qu’un établissement bancaire ne peut supporter. Pour faire simple, une opération de haut de bilan s’envisage lorsque le ratio bénéfices/risques est élevé – d’où le nom de « capital risque ».

Pour répondre à cette question, il est nécessaire de bien comprendre les mécanismes de valorisation et de sortie. Une augmentation de capital signifie une dilution du capital. L’investisseur tirera profit de son investissement lors de sa sortie du capital. Dans l’enfance d’un projet d’innovation, le VC prend un risque important – manquant de métriques pour mesurer les chances de réussite. La dilution est donc importante et mécaniquement, la dilution augmente avec le montant levé. Avec le temps, la startup apporte les preuves de sa capacité à exploiter l’opportunité de marché. Auquel cas, une nouvelle opération d’augmentation de capital engendrerait une dilution moins importante pour un même montant. Vous l’avez compris, la détermination du montant de votre levée tient compte de vos objectifs de dilution, du montant réellement nécessaire pour réaliser le projet et passer à une nouvelle étape. Par ailleurs, il est indispensable de raisonner en besoin global. C’est à dire, le montant total du financement qui permettra à l’entreprise de réaliser ses ambitions. Ce montant est finançable dans le cadre de la levée, mais également via des emprunts et aides publiques – non dilutifs !

La réponse à cette question est très simple… il n’y a pas à arbitrer, il y a à optimiser ! Il est indispensable de comprendre 3 notions : (1) l’effet de levier et la complémentarité entre les aides publiques, l’emprunt bancaire et les capitaux propres; (2) la capacité d’endettement; (3) et la dilution du capital. Nous l’avons vu dans la question précédente, l’augmentation de capital coûte cher. Le recours à des financements publics ou à l’emprunt bancaire limite cette dilution. La France est un formidable terrain de jeu pour l’entreprise qui fait de l’innovation un facteur de sa croissance, il serait dommage de ne pas en profiter !

Il existe plusieurs pistes, la plus évidente : faire appel à des financements non dilutifs : prêt d’honneur, prêt bancaire, avance récupérable ou subvention. Lorsque l’entreprise procède à une augmentation de capital, en fonction de son projet, il existe encore de nombreux outils pour encadrer et limiter la dilution. Nous ne pouvons que vous encourager à faire appel à des conseils pour évaluer les avantages et inconvénients de chaque outil ou mécanisme de financement. Le recours à des obligations convertibles (OC) en complément des actions permet en effet d’éviter une dilution trop importante – en cas de succès seulement du projet, les OC étant converties en actions en cas de non atteinte des objectifs. Lorsque la valorisation de l’entreprise est très compliquée au moment de l’opération, des mécanismes comme le BSA AIR (Bons de Souscription en Actions – Accord d’Investissement Rapide) encadre cette notion de dilution et permettent de « repousser » à un événement ultérieur les négociations sur la valorisation. Votre avocat conseil vous aidera dans le montage de l’opération.

Si la valorisation d’une entreprise « classique » est le fruit de calculs liés à l’anticipation du CA et des gains futurs, l’estimation des résultats d’une startup est plus incertaine, surtout lorsque son modèle économique est encore fragile. Auquel cas, les investisseurs tiendront compte de nombreux éléments clés, non financiers : caractéristiques du marché, qualité et charisme des fondateurs, maîtrise et savoir-faire technologique, attractivité du produit, etc.
Le business plan rédigé est donc central dans la valorisation du projet, il présente justement la capacité de l’entreprise à se projeter dans l’avenir pour exploiter une opportunité de marché. Cette projection est une évaluation des ressources nécessaires et des résultats envisageables. Enfin, le business plan informe l’investisseur sur vos ambitions, votre profil, et votre niveau de préparation pour la suite de l’aventure.

Le fonctionnement d’un fonds de Corporate Venture Capital (CVC) est très proche d’un Venture Capital (VC). L’un et l’autre ont une équipe dédiée de gestion d’un portefeuille et entrent au capital de startups ou PME innovantes pour leur permettre de financer leur projet d’innovation et leur croissance. En revanche, le VC est lui-même financé par des investisseurs privés, institutionnels, bancaires ou corporate (qui lui confient leur fonds) alors que le CVC investie son propre capital – celui de l’entreprise à qui il appartient. 

Les grandes différences entre VC et CVC se situent dans les objectifs de création de valeur et la stratégie de sortie. Les motivations d’investissement sont souvent différentes, si le VC reste très orienté « rentabilité financière », le CVC peut investir sur des business complémentaires au sien, afin de maîtriser un écosystème ou de nouvelles technologies. L’implication du fonds dans la gouvernance sera également variable. Le point de vigilance est la divergence possible des objectifs de sortie en cas de cohabitation.