Nous identifions pour vous les meilleures sources de financements publics et privés et bâtissons une véritable stratégie de financement sur-mesure, en tenant compte de votre situation financière, de vos besoins futurs et de vos objectifs patrimoniaux.
Nous mettons en place une veille approfondie des appels à projets, appels à manifestation d’intérêt et des dispositifs publics ou privés de financements ou d’investissements pertinents pour votre innovation.
À partir du diagnostic de votre situation, des caractéristiques de votre projet d’innovation et grâce à notre connaissance des critères et exigences des dispositifs, nous évaluons les chances et délais d’obtention du financement.
Chaque financement aura un impact sur la situation financière de l’entreprise (endettement, dilution, fiscalité), nous anticipons ces impacts pour prendre les meilleures décisions et organiser la roadmap de financement.
Votre situation financière justifie le recours à un ou plusieurs types de financement, nécessitant une orchestration fine des demandes afin d’optimiser la trésorerie disponible et l’effet de levier des fonds propres sur les aides publiques.
La plupart des aides directes (subventions ou avances récupérables) sont limitées au niveau des fonds propres. Nous préparons avec vous un plan de financement réaliste, faisant appel à toutes les sources de financement.
Indispensables auprès des financeurs publics ou investisseurs, nous préparons les éléments financiers prévisionnels en y intégrant la stratégie de financement.
De nombreux projets sont éligibles à plusieurs dispositifs, régionaux, nationaux, européens. Nous évaluons les meilleures combinaisons de dispositifs pour vous, en intégrant la facilité d’accès, les chances d’obtention, les délais de réalisation, etc.
Selon la nature des aides publiques sollicitées, le niveau d’incertitude sur l’obtention du financement est plus ou moins grand, notamment pour les aides européennes. Afin de mitiger ce risque et d’assurer un continuum de financement, nous envisageons toujours un plan B, c’est-à-dire une possibilité de présenter le dossier monté dans le cadre d’une demande de financement auprès d’autres dispositifs.
Plus les dossiers sont « risqués », plus nous anticipons – dès la définition de la roadmap de financement – le recours à des dispositifs complémentaires.
Même si les principaux acteurs du financement de l’innovation harmonisent la structure des dossiers de demande, le niveau de détail ou les critères de sélection conduisent nécessairement un travail d’ajustement de la stratégie rédactionnelle et d’approfondissement de certains points du dossier.
La nature des dispositifs peut impacter les éléments d’endettement ou de dilution, nous évaluons ces impacts afin d’ajuster la roadmap de financement et l’ensemble des éléments prévisionnels financiers.
Dès la phase de conception de votre projet, avant même de créer une société, il existe des aides dites de « faisabilité ». Elles ont pour objectif de vous inciter à évaluer la faisabilité technique, économique ou réglementaire de votre projet. De faible montant (8 à 10 000 euros environ), elles peuvent couvrir jusqu’à 70% de votre budget. Lorsque la société est créée, Bpifrance et les régions proposent également de nombreux dispositifs (ADI, Innov’up en IDF). Il existe par ailleurs un concours d’innovation dédié aux projets à très forte dimension « R&D », décliné en 3 dispositifs : i-Lab, i-PhD, i-Nov. L’i-Lab est un concours dédié aux porteurs de projets et aux entreprises de moins de 2 ans.
Les projets d’innovation à très forte dimension scientifique et tout particulièrement ceux portés ou co-opérés par des laboratoires de recherche, ont accès à l’ensemble des dispositifs de soutien à l’innovation. En revanche, le niveau d’incertitude et le temps de développement étant souvent très long (ou mobilisent de nombreuses ressources), les pouvoirs publics ont mis en place des dispositifs « dédiés » aux entreprises dites « Deeptech ». Les concours d’innovation i-Lab ou i-Nov ou encore la Bourse French Tech Émergence sont des financements dédiés à ces projets. De manière générale, ces aides sont sous forme de subvention (ou majoritairement), sans condition de remboursement en cas d’échec du projet. Elles ont pour objectifs de permettre au porteur de projet de lever les principaux verrous technologiques.
Les subventions sont généralement allouées dans l’enfance du projet. Cette période se caractérise par un risque fort et un manque de ressources financières. En effet, les incertitudes technologiques, économiques ou réglementaires sont généralement nombreuses. Les banques traditionnelles financent rarement ce type de risques, notamment sans apport de garanties. Si certains investisseurs privés (fonds d’amorçage, business angels) investissent très tôt et acceptent le risque, c’est avec une dilution importante du capital. Lorsque l’entreprise sort de cette période de grande incertitude, elle peut obtenir des aides au développement de l’innovation sous d’autres formes, notamment des prêts (à taux faibles ou taux zéro), des garanties bancaires (auprès de Bpifrance notamment), des avances récupérables.
C’est une bonne nouvelle quand c’est possible. Cela signifie qu’elle est en mesure de financer son développement par ses propres capitaux et que son modèle économique et les revenus générés sont suffisants pour financer son développement. On le dit souvent, le meilleur financement est celui qui vient de ses clients. Toutefois, quand les ressources sont insuffisantes pour financer le projet d’innovation, il existe de nombreuses sources de financement, publiques (Bpifrance, régions, Europe) ou privées (fonds d’amorçage, banques, business angels).
Dans la période de création d’un projet, tous les dirigeants le disent : un euro est un euro. Il s’agit donc de mesurer le ROI de chaque dépense. Si vous faites appel à un conseil dans le financement de votre projet d’innovation, c’est parce que votre création de valeur est ailleurs. Cela pourra dépendre de la période ou de la charge de travail de vos équipes. Selon la nature des opérations financières à venir ou des dispositifs cibles, l’apport d’un conseil est souvent déterminant, il permet d’améliorer le taux de succès de l’opération et d’y consacrer un temps minimum.